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(Navette Challenger) Décollage
le 28 Janvier 1986. Déces
des 7 astronautes dont
l'institutrice Christa McAuliffe qui devait assurer la transmission de
deux cours dans les écoles des USA. Le
badge
représente la Navette Challenger
avec une trajectoire qui part de la Floride. |
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Commandant : Francis « Dick » Scobee - a piloté Challenger durant la mission STS-41-C, laquelle avait correctement déployé un satellite et en avait réparé un autre. Pilote : Michael J. Smith (premier vol) - vétéran de la Guerre du Viêt Nam, a reçu plusieurs décorations militaires, incluant la Distinguished Flying Cross, pilote d'essai de la US Navy. Spécialiste de mission 1 : Ellison Onizuka - Ingénieur de vol de l'Air Force, Eagle Scout, a aussi volé durant STS-51-C sur Discovery, le premier vol de navette pour le département de la défense. Spécialiste de mission 2 : Judith A. Resnik - Spécialiste de mission sur un précédent vol de Discovery, STS-41-D. Spécialiste de mission 3 : Dr Ronald McNair - Physicien aux Hughes Research Laboratories, a aussi volé à bord de STS-41-B Spécialiste de charge utile 1 : Gregory B. Jarvis - Capitaine de l'Air Force et membre du personnel pour Hughes Aircraft Spécialiste de charge utile 2 : Christa McAuliffe - Sélectionnée pour être la première enseignante à aller dans l'espace. |
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Badge du programme "Teacher in
Space"
Dédiée à l'institutrice McAuliffe pendant le vol dramatique 51-L (mais non visible sur sa combinaion de vol) Une navette stylisée s'élève devant la flamme de la connaissance. En haut la mention "Enseignante dans l'espace" ![]() |
![]() Au centre du badge, le nombre 7 en hommage aux astronautes de STS-51L, avec l'inscription: Souvenez-vous des sept |
Badge du sous-marin NR-1 qui participa aux recherches des débris de Challenger après la catastrophe de 1986. Le NR-1, surnommé « Nerwin », est un sous-marin à propulsion nucléaire navale expérimental de l'United States Navy. Il est à la retraite depuis 2008. Il s'agit du plus petit sous-marin à propulsion nucléaire navale construit dans le monde, ![]() |
Les opérations
de recherche qui ont eu lieu dans la première semaine
après l'accident de Challenger étaient
gérées par le Département de la
Défense pour le compte de la NASA, avec l'aide des
garde-côtes. Il s'agissait le plus souvent de recherches de
surface. Selon les garde-côtes, «
l'opération a été la recherche la plus
large à laquelle ils aient participé ».
Cette phase de l'opération a duré jusqu'au 7
février. Par la suite, les recherches ont
été gérées par une
équipe spécialisée dont l'objectif
était de récupérer les
débris susceptibles d'aider à
déterminer la cause de l'accident. Sonar, plongeurs,
submersibles actionnés à distance et submersibles
habités (dont le NR-1)
ont tous été utilisés au cours de la
recherche, qui couvre une zone de 1 600 km², et ce
jusqu'à 370 m de profondeur. Au 1er mai, suffisamment de
débris du booster droit ont été
repêchés pour déterminer l'origine de
l'accident ; la NASA mit donc fin aux grandes opérations de
recherche. Cependant, certaines recherches à faible profondeur se poursuivirent, non pas pour l'enquête sur l'accident mais pour récupérer des débris pour une étude de la NASA sur les propriétés des matériaux utilisés dans les engins spatiaux et des lanceurs. L'opération de récupération a permis de récupérer 15 tonnes de débris dans l'océan Atlantique ; mais 55 % de Challenger, 5 % de l'habitacle et 65 % du satellite (cargaison) sont toujours manquants. |